Elle adore les métis
Description
La passion du sexe Il est des situations où certaines personnes trouvent du temps libre pour s'occuper en dehors de leurs impératifs professionnels. Certains prendront leur bâton de randonnée pour aller se promener à la campagne ou à la montagne, d'autres encore préféreront chausser des baskets pour pratiquer leur sport favori. Beaucoup de gens également ont des addictions et ne peuvent vivre que pour ce qui les passionne, cela les fait avancer. Martine Boval (interprétée par la cougar Lisa Sparrow) est quant à elle une véritable coquine qui, dès que son mari part jouer au poker avec ses potes, va assouvir ses fantasmes.
Il faut dire qu'il ne jure que par les cartes, car c'est pour lui une véritable échappatoire à une vie de couple devenue bien monotone. Ces parties de poker de plus en plus fréquentes lui permettent de voir d’autres gens et de se changer les idées, mais elles sont aussi devenues au fil du temps une passion dévorante, dont il aurait désormais bien du mal à se passer. Lisa, quant à elle, préfère prendre un beau gode pour se l'enfiler dans sa belle grosse chatte dégoulinante de mouille qui n'attend que des grosses bites.
Ce jour-là, Clément, un ami de son mari, passe à la maison avec un pote venu le voir pour la journée et ils découvrent Mme Boval en plein orgasme. Deux Blacks pour cette amatrice de grosses queues Une excellente surprise pour Lisa, toute excitée par ces deux Blacks dont elle devine les grosses bites sous leur pantalon. Sans autre forme de procès elle leur ordonne de se déshabiller, ce que les deux garçons, ravis d’une telle aubaine, font aussitôt...
Lisa Sparrow se jette littéralement sur les sexes déjà raides pour les avaler, avant de les fourrer dans sa chatte baveuse. Rentré à l’improviste, son mari la surprendra avec les deux gaillards et, tout excité par ce spectacle, sortira son gros sexe pour prendre sa femme, et la faire éjaculer. Quel époux exemplaire !
Cette vidéo porno montre parfaitement la spontanéité des acteurs qui ont su très bien jouer leur rôle ! Bravo à Pascal Galbrun qui a encore réalisé une scène criante de réalisme !